Témoignages Témoignages BAC+3

Témoignages BAC+3

A la fin du lycée et durant les études supérieures, nombreux sont ceux qui sont confrontés à un choix d’établissement d’enseignement : école privée ou université ? Bien que les différences entre les deux systèmes soient nombreuses, ils ne sont pas pour autant incompatibles.

Je m’appelle Camille, j’ai 21 ans, je suis une jeune étudiante en troisième année à l’école SUP’DE COM et fraîchement diplômée d’une licence en langues étrangères appliquées à l’Université de Bordeaux. À travers cet article, je vais vous raconter mon expérience dans ces deux univers et ainsi vous prouver que certaines idées reçues ont la vie dure.


Les différences

« Comme vous pouvez vous en douter, nous pouvons aisément lister un certain nombre de différences entre l’université et les écoles privées.

La première différence qui peut sembler évidente est la notion de prix. Un enseignement à l’université coûte en effet bien moins cher qu’un enseignement en école privée et cet écart peut facilement être expliqué par les points qui vont suivre.

La deuxième différence évidente pour moi est le volume des classes qui est diamétralement opposé entre les deux types d’établissement. J’ai troqué les bancs universitaires, entourée de 700 personnes contre une classe à moins de 20 étudiants. Ces deux systèmes comportent chacun, selon moi, des avantages. En raison de cet effectif important, il est indispensable que les étudiants en université fassent preuve de volonté, d’autonomie et d’autogestion. A l’inverse, dans les classes à moindre effectif des écoles privées, l’enseignement est plus personnalisé et l’encadrement plus structuré.

Une autre différence qui m’a sauté aux yeux dès mon arrivée à SUP’DE COM est la mise en pratique presque instantanée des connaissances acquises durant les cours. Alors que l’enseignement universitaire aborde les notions théoriques, à SUP’DE COM, nous sommes réellement plongés dans des cas concrets avec des enseignants qui sont avant tout des professionnels. »

Les points communs

« Ensuite, voici quelques points communs entre les deux types d’établissement supérieur. Avant d’intégrer SUP’DE COM, je pensais que la charge de travail allait être colossale et que mon emploi du temps allait être très chargé. Mais finalement, la charge de travail et l’emploi du temps sont semblables à ceux que vous pouvez retrouver à l’université. Une bonne nouvelle pour notre vie privée ! »

Le bilan

« Je conclue en rappelant que malgré les grandes différences qui existent entre les deux enseignements, ils sont tous deux formateurs et enrichissants. »

« Si vous étudiez actuellement à l’université et que vous souhaitez intégrer une école privée, pas de panique ! Ce changement est réalisable tant que vous avez la volonté et la détermination de réussir. »

Quand avez-vous intégré SUP’DE COM ?J’ai d’abord intégré l’Idrac en 3ème année Marketing et Gestion des Entreprises après un DEUG en Langues Etrangères Appliquées à l’université. Aujourd’hui je suis inscrite sur la spécialisation Communication et Développement Commercial à SUP’DE COM, école appartenant au réseau IDRAC. Dans quelle entreprise effectuez-vous votre alternance ?Je suis actuellement en alternance au sein d’Yves Hunt (Groupe Awak’iT), une agence événementielle qui organise des événements B to B (types séminaires, lancement de produit, conventions, voyages…) en France et à l’étranger. Quel poste occupez-vous et pouvez-vous nous définir vos missions ?J’occupe le poste de Chef de Projet Junior. Mes missions au sein de l’agence sont : recherche de lieux, veille du marché, élaboration de budgets, coordination logistique avec les prestataires, planification des opérations, fabrication des éléments opérationnels, production de l’événement sur le terrain. Selon vous, quelles sont les principales qualités pour occuper cette fonction ?Pour occuper cette fonction, les principales qualités sont : être réactif, créatif, avoir le sens de l’organisation, avoir un bon relationnel. Rencontrez-vous certaines difficultés à allier les cours et le rythme de l’entreprise ?Ce rythme je le pratique depuis 3 ans déjà. Il est intensif mais on s’y habitue. Organisation et ténacité sont les mots d’ordre. Les connaissances apportées par SUP’DE COM vous aident-elles dans votre quotidien et si oui pouvez-vous nous l’illustrer avec un exemple ?J’apprends énormément en entreprise. Les cours suivis à SUP’DE COM me donnent l’occasion de développer des méthodologies et de confronter mes points de vues avec des intervenants venant de différents horizons. Je recommande l’alternance pour toutes ses raisons. Comment définiriez-vous SUP’DE COM en trois mots ?Professionnalisation des programmes, encadrement dynamique, e-communication

Audrey, étudiante en alternance à SUP DE COM

Après avoir obtenu un diplôme de styliste, Estelle, étudiante en 3e année du Bachelor Responsable de Communication, a fait le choix de se réorienter dans le secteur de la communication. Deux secteurs qui paraissent si différents mais qui ne le sont pas tant que ça selon elle. – Quel est ton parcours ? « La mode a toujours été un secteur qui me fascinait, c’est pourquoi j’ai choisi de faire mes études dans ce domaine. Passer trois ans dans ce milieu où l’on côtoie créativité, inspiration mais aussi compétition et stress m’a permis de me rendre compte de ce qu’était vraiment la mode. Aujourd’hui, j’ai choisi le cursus Responsable de Communication à SUP’DE COM Bordeaux pour compléter ma formation. En 3e année, je découvre des matières que je n’avais jamais exploré auparavant comme l’entreprenariat, la communication interne… » – Comment as-tu vécu ce changement ? « J’appréhendais de changer radicalement de secteur, l’inconnu fait toujours un peu peur, mais après quelques semaines au sein du campus bordelais, j’ai vite compris que c’était exactement l’endroit où j’avais envie d’être. J’apprends des choses que je n’avais jamais abordé durant mes trois ans dans mon école de mode. Avant, la créativité était la seule préoccupation de mon cursus tandis que maintenant je peux allier mon univers créatif avec l’univers de la communication, ce qui rend mon avenir professionnel plus concret. » – Mode et Communication : une combinaison gagnante pour ton parcours de formation? « Associer les deux univers n’a pas tout de suite été une évidence. Au cours mes trois premières années d’étude, je me suis rendue compte que ce qui me plaisait le plus dans le métier de styliste, c’était la communication visuelle, la mise en page, l’association de couleurs, la recherche d’identité visuelle pour une marque, la création d’un logo, la réalisation de moodboards d’inspiration… Toutes ces choses-là font partie intégrante de la communication, notamment dans le métier de directeur artistique. » « On peut penser que la communication et la mode sont aux antipodes mais finalement pas tant que ça. Dans mon cas, c’est même une suite logique qui m’apporte un enrichissement sur les plans professionnel et personnel. Allier les deux permet d’avoir le coté rationnel de la communication et le côté créativité de la mode. » « N’hésitez pas à sauter le pas, l’inconnu fait toujours peur mais la finalité est bien souvent enrichissante. Sortir de sa zone de confort rend fier et fait gagner en maturité ! »  

Estelle, étudiante en 3e année du Bachelor Responsable de Communication

Après avoir répondu à une offre de stage diffusée par SUP’DE COM, Méryl Sala, étudiante en 3ème année Bachelor Responsable communication (campus de Montpellier), est depuis octobre dernier en alternance au sein de Royal Canin en qualité d’assistante communication. Méryl pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste votre poste ? « J’occupe un poste d’assistante communication au pôle Brand Communication de la marque Royal Canin. Dans le cadre de mon alternance, je participe à l’organisation d’événements qui réunissent pour la plupart plus de 500 participants. Je travaille également sur des projets stratégiques autour de l’image de marque Royal Canin, en collaboration avec les responsables vidéos et photos, où il est question d’entrer en contact avec les éleveurs, de sélectionner les « best chiens et chats » et de réaliser des shootings photos et des films. En parallèle de ces deux missions, je suis en charge de projets ponctuels de coordination des équipes (réunions en interne, séminaires…). » Quelles sont les raisons qui vous ont poussée à effectuer votre formation en alternance ? « J’ai choisi de suivre mes études en alternance pour deux raisons : l’enrichissement professionnel que cette expérience m’apporte et l’aspect financier qui me permet d’être totalement autonome pendant mes études. » Quels sont les bénéfices que vous en retirez ? « Les principaux bénéfices sont de pouvoir être au cœur de l’action, de mieux comprendre certaines situations mais aussi d’être confrontée à des imprévus que l’on ne rencontre pas forcement lors de notre cursus scolaire. D’un autre côté, l’alternance permet aussi de réaliser une auto évaluation de ses capacités, de se rendre compte quels métiers de la communication sont les plus appropriés à nos capacités et à nos envies. » Quelques mots sur SUP’DE COM ? « Pour ma part, SUP’DE COM est une école à taille humaine avec un corps enseignant et administratif qui nous connait, ce qui nous permet de bénéficier d’un suivi plus personnalisé. »

Méryl Sala, étudiante en Bachelor Responsable communication à SUP’DE COM

C’est en première année Bachelor Responsable de la Communication que Mathilde est arrivée à SUP’DE COM Montpellier. Aujourd’hui étudiante en troisième année, elle a décroché un poste en alternance chez Dyneff. Retour sur son parcours et sa recherche d’alternance… Comment as-tu réussi à décrocher ton contrat chez Dyneff ? « C’est grâce à SUP’DE COM et au service entreprise de l’école que j’ai eu accès à cette offre d’alternance. L’entreprise a fait son choix entre différents candidats après plusieurs tests et entretiens et j’ai eu le poste. Je ne m’y attendais pas car des compétences graphiques étaient attendues pour ce poste et je ne suis pas une experte dans le domaine ! » Quel poste occupes-tu ? « J’occupe le poste d’assistante marketing et communication. » Quelles sont les missions liées à ce poste ? « Les missions sont assez diverses. Il y a beaucoup de communication interne à faire comme la rédaction de flash info, la mise en page de document, des courriers officiels à rédiger, etc. Je m’occupe également de la gestion des demandes de sponsoring et de partenariat, de la communication des foires et salons. Les missions sont souvent ponctuelles car elles sont liées à la demande interne des différents services de Dyneff. » Comment appréhendes-tu ta première année en rythme alternance ? « Plutôt bien. Au départ j’avais peur car je n’ai jamais connu le rythme en alternance et je n’ai jamais travaillé au sein d’une grosse entreprise. Aujourd’hui je suis plutôt rassurée et je me sens très à l’aise avec mon poste en entreprise et les cours à l’école. J’ai commencé le travail début août, et l’ancienne personne qui occupait le poste m’a formée pendant 1 mois. Ce qui fait qu’aujourd’hui je n’ai plus aucune crainte car tout se passe très bien ! » As-tu des objectifs, des envies pour ta poursuite d’étude, ou ton avenir proche chez Dyneff ? « J’aimerais pouvoir poursuivre mon parcours au sein de SUP’DE COM jusqu’en Master tout en restant en poste chez Dyneff. Je pense qu’il est plus intéressant de rester plus d’un an dans une entreprise pour mieux développer ses compétences et avoir un suivi à plus ou moins long terme sur son travail. » Un conseil pour les étudiants encore en recherche d’alternance ? « Oui, il ne faut pas se focaliser que les qualités et compétences que l’on a ou que l’on n’a pas. Au départ, le poste pour Dyneff était orienté « Graphisme » alors que je possède peu de compétences dans ce domaine. Pourtant j’ai eu le poste, tout simplement parce qu’il y a eu un véritable feeling entre les recruteurs, l’équipe et moi. Il faut savoir se vendre, montrer notre motivation et notre envie et rester naturel. Généralement c’est un comportement à avoir qui joue beaucoup sur l’obtention du poste. Je pense que les recruteurs recherchent une personne qui saura s’intégrer facilement dans leur équipe, quelqu’un de spontané et de naturel. » • Téléchargez votre dossier de candidature en ligne. • Téléchargez la documentation complète sur SUP’DE COM ! • Vous avez une question ? Contactez-nous !

Mathilde, En Alternance chez DYNEFF

Elle revient sur les bancs de l’école témoigner de son parcours auprès de nos étudiants en 3ème année « Bachelor Responsable Communication ». La rencontre a pris la forme d’un petit-déjeuner organisé au sein de la cafétéria de l’école. L’ambiance était au rendez-vous. Nos étudiants ont été enchantés de faire connaissance avec une ancienne élève de l’école. Delphine est venue partager son expérience en qualité de chef de publicité junior dans l’agence H à Paris. Elle leur a expliqué les différentes tâches et missions qu’elle a pu réaliser dans le cadre de ce stage avec notamment la gestion d’un gros budget, celui de Darty. Les étudiants ont été particulièrement attentifs aux conseils pratiques donnés par Delphine concernant la préparation d’un entretien avec une agence de publicité. « Bien sûr se renseigner sur l’agence, ses métiers et ses clients. Mais sa ne suffit pas, savoir parler des campagnes de pub du moment, avoir un avis construit est très important ! » Elle a tenu à mettre l’accent sur le fait que certaines matières généralistes qui, souvent, ne sont pas les préférées des étudiants en communication peuvent être très utiles sur le terrain ! « Durant mon stage dans l’agence H, je devais gérer le budget de publicité Darty, mes cours d’analyse financière et budgétaire m’ont bien aidée, cela m’a permis d’être plus pro face à mes responsables. » Et elle est revenue ensuite sur les qualités indispensables pour travailler dans la pub en plus de la créativité et de la rigueur « l’humilité, l’écoute et la capacité à convaincre sont les qualités qui vous permettront de vous insérer dans le domaine de la publicité. Et bien sur de ne pas compter ses heures ! » Nos étudiants te remercient Delphine d’être intervenue à l’école. Cette rencontre professionnelle fut très enrichissante pour eux. En effet, cela leur à permis de découvrir, sans langue de bois, les coulisses du métier de chef de pub.

Delphine, chef de pub dans une agence

> Peux-tu nous en dire davantage sur toi ? Salut, j’habite à Nantes et suis étudiant en 1ere année de Bachelor Responsable Communication.Après l’obtention de mon BAC ES, j’ai choisi de poursuivre mes études à Montréal. Pendant que j’étais là-bas j’ai été contacté par l’émission The Voice qui me proposait de participer à l’aventure ! J’ai choisi de tenter ma chance et suis revenu en France. Choix qui s’est avéré judicieux puisque j’ai intégré l’équipe de Zazie, participant ainsi à l’aventure The Voice. > Pourquoi avoir choisi SUP’ DE COM ? Durant l’émission de The Voice j’ai beaucoup échangé avec les membres de la production. Je me suis aperçu que ces métiers m’attiraient davantage que le commerce c’est pourquoi je me suis orienté vers la communication et SUP’ DE COM. > Pratiques-tu des activités extra-scolaires ? Sport, association, hobbies… ? Oui plutôt ! Je suis auteur, compositeur et interprète, ainsi la MAO et la guitare sont des éléments qui m’aident à composer ! Je suis d’ailleurs aujourd’hui sur un projet de création d’album ! J’ai également créé récemment avec un ami une association : Zeiyo. Tous deux passionnés par l’art, la musique, le graphisme, etc nous avons créé cette association pluridisciplinaire qui regroupe un collectif d’artistes. Le concept est de mettre en relation des artistes et de devenir un « mini-tremplin » en positionnant les artistes de l’asso sur les événements de nos partenaires. Au sein de Zeiyo j’occupe le poste de Directeur Artistique et me charge du recrutement des artistes du collectif, des « talents nourrissants locaux ». > Quels sont les apports de cette activité associative pour tes études ? Et inversement ? Mon activité associative m’apporte une expérience professionnelle et me permet d’appliquer la théorie des cours sur un projet professionnel. Le fait qu’il s’agisse de mon association m’a notamment « boosté » pour réaliser notre premier événement au California Concept Store le 18 Mars dernier. Evénement qui rentrait également dans le cadre de notre grand projet de première année Bachelor. > Où te vois-tu dans quelques temps ? Quel serait ton job idéal ? J’aimerais poursuivre ma 3e année de Bachelor en alternance, afin d’être immergé dans le monde professionnel au plus vite. Quant à mon job idéal… Pour le moment c’est un peu flou. Les métiers de directeur artistique ou producteur TV, d’émission m’intéressent beaucoup, je dois juste déterminer quel poste me correspondrait le mieux. > Si tu devais te retrouver seul sur une île déserte, qu’emmènerais-tu ? Tu as le droit de choisir 3 objets ? Une guitare, un ballon de foot et de quoi écrire.

Aubin, 1ère année de bachelor à Nantes

Bonjour Aude, peux-tu te présenter en quelques mots ? Bonjour ! Aude Millet, 22 ans, passionnée par la photographie et les arts visuels. A la suite d’un BTS Communication effectué dans les environs de Tours, j’ai intégré SUP DE COM Nantes pour me spécialiser dans la communication avec une licence en alternance. Je souhaitais initialement me spécialiser dans le design graphique mais j’ai finalement opté pour une licence plus complète qui me permettrait d’acquérir des compétences en gestion et en management. Pourquoi avoir fait le choix de partir à l’étranger pour ta 4e année ? Et pourquoi avoir fait le choix de l’Irlande ? J’ai souhaité partir à l’étranger pour assouvir ma soif d’aventures et de nouveautés. Je souhaitais changer d’air et d’environnement pour dépasser mes limites. De plus, je trouve très intéressant le fait de partir dans un pays où les codes, la culture et la vision de la communication sont différents. Ce qui m’a décidé de partir en Irlande, est un voyage que j’ai effectué à Dublin pour fêter la nouvelle année. Je savais d’ores et déjà que je ferais mon année à l’étranger mais ces quelques jours passés dans la capitale Irlandaise m’ont séduit. Peux-tu évoquer avec nous ton parcours scolaire à l’étranger ? Ce qui peut être choquant au départ est l’ambiance qui règne en cours : les intervenants se mettent sur un pied d’égalité avec les élèves, ce qui donne parfois des débats passionnés. Cette manière d’enseigner est très différente de notre façon d’appréhender l’autorité et la « hiérarchie » en classe en France. Aussi, le parcours Irlandais est très différent de la scolarité en France en école, il se rapproche plus de notre système universitaire. Nous avons peu d’heures de cours par semaine, mais de nombreux projets et dossiers à rendre. Ces projets sont variés et dans certaines matières il s’agit de projets à concevoir sur l’année, similaires à nos projets Agence et Entreprise de 3e année Bachelor Communication à SUP’DE COM. Pour ma part, j’ai choisi le parcours Marketing comme spécialisation cette année. Celui-ci est très complet et demande du travail personnel pour approfondir les théories et matrices. Enfin, le système scolaire Irlandais repose plus sur l’autonomie et la confiance. Les devoirs sont fournis aux étudiants à l’avance et ils disposent de beaucoup de temps libre pour travailler. Peux-tu évoquer un moment fort vécut durant ton cursus à l’étranger ? La plupart des étudiants Irlandais doivent faire partie d’une organisation caritative ou faire du bénévolat. Ils ne s’y sentent pas contraints et apprécient ce fait, ce qui nous a un peu surpris (les français) car nous sommes plus individualistes. Aussi, mon meilleur souvenir à l’école est une fête que nous avons organisée pour récolter des fonds pour une œuvre de charité dans laquelle beaucoup d’étudiants Irlandais et étrangers se sont investis. Tous les étudiants de l’école toutes promotions et cursus y étaient conviés. As-tu des conseils à donner à des étudiants qui comme toi souhaiteraient partir à l’étranger pour leur 4e année ? Il est important de se renseigner un peu sur le pays dans lequel on arrive… La culture, les habitudes, le coût de la vie sont des aspects importants à prendre en compte car on peut vite être surpris par certaines attitudes et modes de vie lorsque l’on change de pays. Pour moi cette année a réellement été exceptionnelle ! C’est pourquoi j’invite tous ceux qui ont la possibilité et l’envie de se lancer dans une année à l’étranger à le faire sans hésitation ! Très bénéfique pour perfectionner une seconde langue, c’est une aventure extraordinaire qui permet de s’ouvrir sur le monde et sur les gens ! Dublin est une ville « erasmus » à taille humaine où on trouve des étudiants partout. Enfin, c’est toujours gratifiant sur un CV et dans sa vie personnelle de se lancer dans une expédition comme celle-ci. Enfin, peux-tu nous raconter une anecdote sur la culture irlandaise ? Il faut savoir que la culture Irlandaise est bien différente de la culture britannique du fait de l’histoire chargée entre ces deux pays. La langue est plus subtile, comprenant de nombreux mots gaéliques mélangés à l’anglais parlé de tous les jours, et la prononciation diffère également. C’est parfois très complexe de comprendre les Irlandais ! L’hospitalité Irlandaise quant à elle est une vérité, ce qui est d’ailleurs très surprenant au début. Ici les gens sont accueillants, chaleureux, gentils et souriants. Ils vont par exemple s’excuser même avant de nous avoir bousculés ou encore nous saluer gentiment dans la rue comme si nous étions du coin, ce qui est quelque chose d’assez rare en France il faut bien l’avouer.

Aude, une SUP’DE COMienne en terres Irlandaises

> Bonjour Marine, peux-tu te présenter en quelques mots ? Salut ! Je m’appelle Marine, j’ai 20 ans, suis originaire de Nice et étudie actuellement en Bachelor 3 à Nantes en alternance au sein de l’entreprise ADRENA , qui conçoit des logiciels de navigation pour bateaux et notamment ceux utilisés durant le Vendée Globe. > Pourquoi avoir choisi la communication ? Pourquoi SUP’ DE COM ? Mon objectif est de travailler plus tard dans une entreprise qui me permettrait d’allier mes deux passions que sont la communication et le sport. SUP’DE COM est une école de communication globale, qui forme ses étudiants à la maîtrise de l’ensemble des secteurs de la communication. Aujourd’hui, mon projet d’orientation n’est pas encore entièrement « construit », c’est pourquoi le programme ouvert de SUP’DE COM m’a paru être le plus adapté. > Peux-tu évoquer ton parcours en alternance ? Après avoir fait un DUT info-com sur Nice, je me suis dit que si je devais continuer mes études je voulais encore plus de concret. Rester assise toute la journée à écouter des personnes déblatérer peut devenir un peu ennuyant. Un parcours alternance propose de nombreux points positifs : un meilleur apprentissage car celui-ci est mis en pratique en entreprise, un gain de confiance en soi suite à l’attribution de responsabilités, et le gain d’expérience, atout primordial sur nos CV aujourd’hui ! Le seul hic, le temps passe trop vite… Certaines semaines de cours seront ainsi très dense en termes de charge de travail et il est primordial de bien s’organiser. Heureusement, beaucoup de travaux sont à réaliser en groupe ! > As-tu vécu un moment fort à SUP’DE COM ? Cette année les cours de Média Training m’ont particulièrement intéressé ! Notre intervenante, Charlotte Niort, nous a beaucoup fait travailler sur nous, notre place dans un groupe et note posture professionnelle. J’ai particulièrement apprécié cette mise en pratique et le travail vidéo demandé qui nous a permis de présenter des rendus libres très créatifs et pertinents. > Pratiques-tu des activités extra-scolaires ? Hobbies, passions, sport… Oui, je pratique le Monocycle ! Lorsque j’habitais à Nice je faisais partie du club (Cycl’hop) champion de France de mono-hockey (du hockey sur monocycle), mais malheureusement il n’existe pas de club sur Nantes. Il faut s’avoir que plusieurs disciplines existent en mono-cycle : le « free-style », le hockey, les courses de vitesse, les marathons, le cross… Et leurs championnats respectifs nationaux, européens, mondiaux. > Quels sont les apports du sport pour tes études ? Cela me permet principalement de me changer les idées mais aussi de mieux dormir ! Grâce au sport je fais de nombreuses rencontres, même parfois de futurs collègues potentiels. Je tiens tout de même à souligner qu’il faut être très organisé pour pouvoir pratiquer un sport de façon régulière 3 fois par semaine tout en assurant son cursus alternance. > Peux-tu évoquer un moment fort vécut dans le cadre de ton sport ? En 2013 j’ai eu l’opportunité de participer au Championnat du Monde de Monocycle en Italie. Pour ce Championnat je participais à la course de 10 kms vitesse. C’était une course incroyable ! Les participants étaient tous de nationalités différentes et même si notre objectif était de gagner il régnait un véritable esprit de convivialité et de soutien !

Marine, Bachlelor 3 à Nantes

> Bonjour Clothilde, peux-tu présenter en quelques mots ? Je m’appelle Clothilde Etienne, j’ai intégré SUP DE COM’ en 3ème année après avoir passé 2 ans à l’EFAP à Bordeaux. J’aime la mode et le design, tout ce qui est esthétique et créatif. > Pourquoi avoir choisi d’intégrer SUP’DE COM ? Et pourquoi avoir fait le choix d’un parcours en initial ? J’ai choisi d’intégrer SUP’ DE COM grâce à des amis et des connaissances qui y étaient et qui m’ont donné envie d’intégrer SUP’DE COM à mon tour. J’ai fait le choix d’un parcours en initial car je préférais ce rythme d’apprentissage, suivre des cours de manière intensive. Le fait d’avoir un stage à effectuer m’a aussi conforté dans ce choix car j’ai pu travailler à Paris pendant 4 mois, ce qui était pour moi une bonne expérience. > Peux-tu évoquer avec nous ton stage de 3e année Bachelor ? J’ai effectué mon stage de 3e année de Bachelor à Paris chez Leon Flam, dans un magasin de maroquinerie haut de gamme pour hommes. J’étais chargée de toute la relation commerciale et la communication. Je me suis occupée des réseaux sociaux comme Facebook et Instagram, de la relation client et du SAV. J’ai également participé à des événements tels que des salons de la mode ou bien l’organisation de la vente privée à la boutique. Ce qui m’a plu dans ce stage a été de travailler dans le secteur de la mode qui m’a toujours attiré. J’aurais cependant aimé participer à plus d’événements ou de rendez-vous professionnels pour découvrir comment cela se déroule concrètement. > Comment te vois-tu dans 10 ans ? Quel serai le job de tes « rêves » ? J’aimerais travailler dans le secteur de la mode en tant que Chargée de Communication. > Peux-tu évoquer avec nous un moment fort vécut à SUP’DE COM ? Les OPEN COM constituent réellement un moment fort de SUP DE COM’. En effet il faut savoir travailler en équipe efficacement et faire un travail de qualité, tout en collaborant avec des personnes que l’on ne connait pas et avec qui il faut bien s’entendre sur projet donné. Je trouve cette méthode de travail très formatrice et intéressante. > Peux-tu évoquer avec nous un moment fort vécut en entreprise ? Un de mes moments forts vécus en entreprise a été l’organisation d’un salon auquel mon entreprise a participé. Cela était amusant de tout mettre en place, les stands, le merchandising pour rendre notre marque jolie dans le salon. Le salon en lui-même était également un moment fort car j’ai pu découvrir beaucoup de marques de jeunes créateurs inconnus. > Et, le petit mot de la fin ? « Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin »

Clothilde, Bachelor 3

"> Bonjour Robin ! Peux-tu te présenter en quelques mots ? Salut moi c’est Robin ! Actuellement en 3e année du Bachelor Communication à SUP’DE COM je fais partie de la première promotion du Bachelor à Nantes ! > Pourquoi avoir choisi SUP’DE COM ? Et pourquoi un parcours en initial ? Mon choix s’est porté sur SUP’DE COM suite à trois éléments : les échos positifs rapportés au sujet de cette Ecole Supérieure de Communication et les Journées Portes Ouvertes très pédagogiques auxquelles j’ai assisté avant de m’y inscrire. Enfin, j’ai été tenté par la nouveauté du programme Bachelor Communication : il s’agit d’une formation très professionnalisante, qui valorise la pratique et propose l’expertise de nombreux intervenants extérieurs. Quant au choix de l’initial c’est en partie car je n’étais pas « prêt » à me positionner sur le marché de l’emploi dès ma 3e année. Aussi, durant l’intégralité de ma formation j’ai eu l’opportunité de réaliser l’équivalant d’un an de stage. En cela, ces expériences et les acquis théoriques des cours me permettent d’être prêt pour effectuer mon BAC +4/5 en alternance l’année prochaine. > Peux-tu nous parler de ton implication associative ? Avec plaisir ! Je fais partie depuis 3 ans du Comité de Jumelage Zwiefalten – La Tessoualle. Ce Comité jumelle depuis 40 ans une ville allemande et une ville française. Le but de ce Comité est de proposer à ses membres de partir une semaine chaque année dans la ville jumelée. Cette semaine constitue une réelle opportunité pour échanger, visiter, apprendre et développer de nouvelles relations internationales. Les actions du Comité sont divisées entre un bureau adultes et un bureau jeunes qui organisent chacun leurs propres voyages et actions événementielles. Dans le cadre de mon implication associative, j’apporte mes connaissances de communicant et je réalise pour eux les supports web/print dédiés à valoriser les événements et actions du Comité. > Les enseignements de SUP’DE COM te sont-ils utiles dans le cadre de cette implication ? La PAO est une compétence essentielle acquise grâce à mes études à SUP’DE COM sans laquelle je n’aurais pas pu réaliser autant de missions pour l’association. Grâce à ces modules, j’ai à la fois acquis la maîtrise des logiciels mais aussi l’ensemble des techniques et règles de créativité print/web. Ainsi j’ai pu mettre en œuvre de manière concrète ce que j’apprenais en cours dans le cadre de ma formation. Enfin, le fait d’être impliqué dans cette association et de réaliser de nombreux supports de communication pour celle-ci me permet de me construire un book et des réalisations présentables dans le cadre de ma recherche de stage, d’alternance, de job… > Quel serait ton job idéal ? Celui de Planeur Stratégique ou Chef de Publicité dans une agence de publicité à Paris. > Et le mot de la fin ? La communication aujourd’hui c’est dans nos trips et pas uniquement dans nos neurones."

Maxime de Robin, 3e année du Bachelor Communication

Maxime, étudiant en 3e année du Bachelor Responsable de communication, travaille en alternance avec la Santé au Travail des Landes – Comment définis-tu la communication publique ? C’est le fait de tenir informé un interlocuteur sur un ou plusieurs projets tout en diffusant une information claire et concise. Un organisme public se doit d’être transparent vis-à-vis de sa communication, c’est pourquoi une bonne communication publique est très importante dans ce domaine. – Quelle est une journée type pour toi ? Tout d’abord, je travaille sur Dax mais je me déplace dans tout le département des Landes afin de rencontrer les différents acteurs avec qui je travaille régulièrement. J’ai plusieurs types de mission à réaliser chaque jour et avec des échéances particulières que je me dois de respecter. Mon service est un service de prévention, je dois donc communiquer et mettre en avant ce que nous préconisons en matière de prévention des risques professionnels au travail. – Comment mettre en œuvre une communication publique efficace ? Cela passe par un peu de community management, de création de visuels pour l’annonce d’événement publics (des portes ouvertes par exemple). Nous développons également de nombreux projets qui ont besoin d’être relayés par une communication aux institutions, aux partenaires. Et donc, ce qui peut s’avérer compliqué se trouve être particulièrement intéressant. J’ai pu prendre contact avec des élus locaux, départementaux et régionaux afin de promouvoir un ou plusieurs projets. Pour résumer, je vis une expérience enrichissante qui me permet de développer mon réseau professionnel ! – Que penses-tu de cette expérience professionnelle ? Il est vrai qu’on a eu tendance à avoir une mauvaise opinion des services publiques. Heureusement, les mentalités ont évolué et c’est agréable de travailler dans ce type de structure. Les collègues sont adorables tout en restant très professionnels. Le travail est riche et extrêmement diversifié. D’une semaine à l’autre, nous allons communiquer sur le lancement d’une application digitale novatrice en matière de prévention puis sur le contenu d’un module de sensibilisation. Nous avons également souvent l’occasion de travailler en équipe ce qui favorise la cohésion et l’intégration. – Un mot d’encouragement pour les futurs étudiants ? Le choix de l’alternance est une bonne option pour acquérir à la fois compétences et expériences, alors n’hésitez pas !

Maxime, en alternance à la Santé au Travail des Landes

"A la fin du lycée et durant les études supérieures, nombreux sont ceux qui sont confrontés à un choix d’établissement d’enseignement : école privée ou université ? Bien que les différences entre les deux systèmes soient nombreuses, ils ne sont pas pour autant incompatibles. Je m’appelle Camille, j’ai 21 ans, je suis une jeune étudiante en troisième année à l’école SUP’DE COM et fraîchement diplômée d’une licence en langues étrangères appliquées à l’Université de Bordeaux. À travers cet article, je vais vous raconter mon expérience dans ces deux univers et ainsi vous prouver que certaines idées reçues ont la vie dure. Les différences « Comme vous pouvez vous en douter, nous pouvons aisément lister un certain nombre de différences entre l’université et les écoles privées. La première différence qui peut sembler évidente est la notion de prix. Un enseignement à l’université coûte en effet bien moins cher qu’un enseignement en école privée et cet écart peut facilement être expliqué par les points qui vont suivre. La deuxième différence évidente pour moi est le volume des classes qui est diamétralement opposé entre les deux types d’établissement. J’ai troqué les bancs universitaires, entourée de 700 personnes contre une classe à moins de 20 étudiants. Ces deux systèmes comportent chacun, selon moi, des avantages. En raison de cet effectif important, il est indispensable que les étudiants en université fassent preuve de volonté, d’autonomie et d’autogestion. A l’inverse, dans les classes à moindre effectif des écoles privées, l’enseignement est plus personnalisé et l’encadrement plus structuré. Une autre différence qui m’a sauté aux yeux dès mon arrivée à SUP’DE COM est la mise en pratique presque instantanée des connaissances acquises durant les cours. Alors que l’enseignement universitaire aborde les notions théoriques, à SUP’DE COM, nous sommes réellement plongés dans des cas concrets avec des enseignants qui sont avant tout des professionnels. » Les points communs « Ensuite, voici quelques points communs entre les deux types d’établissement supérieur. Avant d’intégrer SUP’DE COM, je pensais que la charge de travail allait être colossale et que mon emploi du temps allait être très chargé. Mais finalement, la charge de travail et l’emploi du temps sont semblables à ceux que vous pouvez retrouver à l’université. Une bonne nouvelle pour notre vie privée ! » Le bilan « Je conclue en rappelant que malgré les grandes différences qui existent entre les deux enseignements, ils sont tous deux formateurs et enrichissants. » « Si vous étudiez actuellement à l’université et que vous souhaitez intégrer une école privée, pas de panique ! Ce changement est réalisable tant que vous avez la volonté et la détermination de réussir. »"

Entre université et école privée,